Dégâts sur les plantations, liés à la consommation des pousses d’arbres par le bétail ou le gibier.
Végétation ligneuse introduite ou laissée autour d'une tige avec l’objectif de gainer celle-ci. N’ayant pas de but propre de production, elle sera rabattue pour ne pas gêner le plant par la suite.
Augmentation des dimensions et du volume des arbres. En particulier, accroissement annuel du volume par hectare, qui s’exprime en m3/ha/an.
Peuplement forestier obtenu par la colonisation naturelle d’un terrain dont l’utilisation précédente a été abandonnée (déprise des terres agricoles).
Se dit d’un rejet de taillis ou d’un drageon qui, en grossissant, s’est suffisamment enraciné pour prendre son indépendance vis-à-vis de la souche-mère.
Système de production qui associe sur une même parcelle la culture des arbres et l’élevage ou une autre culture
Toute coupe qui ne vise pas à la régénération, mais seulement à la meilleure venue et à la croissance des peuplements par élimination des arbres de moindre valeur.
Définition d’objectifs assignés à une forêt en tenant compte des contraintes techniques, économiques, réglementaires, sociales et environnementales, ainsi que l’organisation dans le temps et dans l’espace des moyens (coupes, travaux, financements) à mettre en œuvre pour atteindre lesdits objectifs. Le terme est habituellement réservé aux forêts gérées par l’Office National des Forêts.
Substance améliorant les propriétés physiques et/ou biologiques d’un sol (ex. : épandage de chaux sur un sol acide).
Rangement en cordons, généralement parallèles (andains), des souches et déchets de coupe, avant un reboisement.
Végétal vivace, ligneux, rameux, atteignant au moins 7 m de hauteur et ne portant de branches durables qu’à une certaine distance du sol.
Arbre bien conformé (bonne rectitude, faible branchaison, …) au profit duquel sont réalisées les interventions sylvicoles (tailles, élagages en hauteur, coupes d’amélioration). Il s’agit d’un arbre destiné à grossir jusqu’au terme d’exploitation que le propriétaire aura choisi (âge, diamètre ou qualité).
Arbre de qualité répondant à une recherche de répartition homogène de ces tiges sur la totalité de leur surface et devant constituer le peuplement final.
Manière dont l’emplacement des coupes est défini.
Voir les explications sur les A.C.C.A
Couche périphérique vivante du bois dont les vaisseaux ne sont pas obstrués et dont le bois est souvent moins coloré et moins durable que le bois de cœur.
Opération qui consiste à choisir des baliveaux (tiges de franc-pied ou rejets de souches bien conformés) dans un taillis, et à les favoriser afin de produire du bois d’œuvre de qualité.
Jeune arbre issu de semis (franc-pied), ou à défaut de rejets, si possible affranchis ou sur le point de l’être, ayant l’âge du taillis qui l’entoure, et présentant des caractéristiques de forme et de vigueur qui laissent présager la production des bois de qualité.
Tronçon découpé dans une grume.
Partie du tronc située entre la base de l’arbre et la première grosse branche.
Diversité de l’ensemble des êtres et des plantes vivant dans un milieu donné (faune et flore).
Coupe rase enlevant la totalité du peuplement sur la surface où elle est assise.
Bois en général de petite dimension, inutilisable en bois d’œuvre, destiné à d’autres utilisations industrielles : pâte à papier, panneaux, poteaux, …
Bois utilisé pour ses fibres dans la fabrication de pâte à papier ou de panneaux.
Bois destiné au déroulage, tranchage, à la charpente traditionnelle, etc.… Ceci nécessite d’obtenir des arbres bien conformés (bonne rectitude et diamètre suffisant).
Arbres dont le diamètre (à 1,30 m) est compris entre 30 et 45 cm.
Bois en billes ou en rondins, avant première utilisation.
Mode de vente dans lequel les bois sont vendus, abattus, façonnés et disponibles bord de route.
Groupe d’arbres de dimension et d’âge voisins s’étendant sur quelques ares.
Peuplement annexe introduit au départ ou conservé lors d’une opération de balivage dans le but de favoriser la rectitude et l’élagage du peuplement présélectionné.
Fragment prélevé sur une plante qui, mis en terre, prend racine et forme un nouvel individu.Technique qui se pratique sur le peuplier.
Protubérance sur l’écorce d’un arbre due à un amas de bourgeons et de gourmands (arbre brogneux).
Document présentant l’inventaire de tous les types de stations forestières présentes dans une petite région naturelle.
Ensemble des rejets d’une même souche.
Sur la découpe transversale d’un arbre, anneau de bois résultant de la croissance annuelle de l’arbre
Arbre, (ou par extension ensemble d’arbres), renversé, déraciné ou cassé le plus souvent à la suite d’un accident climatique (vent, neige, givre…) mais également à cause d’une instabilité naturelle, d’une mauvaise exploitation ou tout simplement l’âge.
Chemins ruraux et voies communales
Passages créés à l’intérieur d’un peuplement forestier et permettant la circulation d’ouvriers ou de tracteurs pour des travaux de sylviculture.
Passages créés à l’intérieur d’un peuplement forestier et permettant la circulation des tracteurs de débardage et des machines d’abattage.
Groupes d’individus génétiquement identiques, obtenus par multiplication végétative (greffe, bouture, marcotte) d’un seul individu d’origine.
Base du tronc correspondant à la jonction tige – racine, parfois marquée d’un léger renflement.
Fruit composé des conifères, formé d’un axe et de nombreuses écailles ligneuses imbriquées à la base desquelles se trouvent les graines.
Ensemble regroupant un très grand nombre d’espèces d’arbres fructifiant par des cônes, dont les feuilles ont le plus souvent la forme d’aiguilles ou d’écailles, et dont les bois riches en résine sont commercialement connus sous le nom de résineux.
Petit récipient dans lequel sont produits des plants prêts à être mis en terre avec la motte.
Opération sylvicole qui consiste à passer d’un régime à un autre. Exemple : passage du taillis ou du taillis sous futaie à la futaie.
Ancienne unité de commercialisation de bois de feu destiné au chauffage. Sa contenance est variable, comprise habituellement entre trois et quatre stères.
Réduction de la densité d’un peuplement avec récolte de bois en vue d’améliorer la croissance et la forme des arbres restants.
Coupe d’arbres destinée dans un peuplement que l’on veut régénérer, à provoquer l’apparition d’une régénération naturelle ou à favoriser celle déjà présente.
Coupe de la totalité des arbres d’un peuplement.
Ecran fourni par l’ensemble de la cime des arbres constituant le peuplement.
Travail superficiel du sol, manuel ou mécanique, ayant pour but de détruire tout au moins en partie la couverture vivante, de remuer la couverture morte et d’ameublir les horizons superficiels du sol pour les rendre aptes à recevoir des graines.
Calcul du volume d’une bille abattue ou sur pied à partir de dimensions caractéristiques (hauteur, diamètre ou circonférence).
Qui se rapporte à la chasse.
Couches internes du bois qui ne contiennent plus de cellules vivantes et qui présentent en général une bonne qualité technologique. Egalement appelé duramen.
Transport du bois en forêt (en général jusqu’au point de chargement du camion).
Eclosion du bourgeon des arbres à la sortie de l’hiver.
Transport des bois coupés depuis le lieu d’abattage jusqu’à un endroit où ils sont repris par d’autres moyens de débardage. Souvent, en Limousin, dans le cas d’une exploitation mécanisée, les opérations de débusquage et de débardage sont confondues.
Emplacement(s) où un tronc doit être coupé.
Celle à partir de laquelle le bois n’est plus commercialisable en bois d’œuvre.
Diminution du diamètre d’un tronc, exprimée en cm par mètre de tronc, depuis le niveau à hauteur d’homme jusqu’au milieu de la hauteur de la tige.
Opération culturale ayant pour but de supprimer ou d’affaiblir toute végétation susceptible de gêner le développement de semis et/ou de jeunes plants.
Appareil servant à mesurer ou estimer la hauteur des arbres.
Réduction de la densité d’un jeune peuplement, avec abandon sur place des tiges coupées.
Obtention d’une feuille de placage continue par découpe tangentielle, parallèle aux cernes, de la bille en rotation, comme si la bille était constituée initialement de l’enroulement sur elle-même de cette feuille.
Phénomène pouvant être observé après une mise en lumière du tronc et consistant au développement de branches latérales sur le tronc à partir de gourmands.
Enlever un arbre encroué (voir encroué).
Opération consistant à faire mourir une tige sur pied.
Première ou dernière planche d’une bille dont la face équarrie est recouverte d’écorce.
Sujet issu d’un bourgeon développé sur une racine.
Bois de cœur (non vivant) différencié, à coloration plus foncée que celle de l’aubier.
Distance entre les plants sur la ligne de plantation et entre les lignes.
Réduction de la densité d’un peuplement avec récolte de bois en vue d’améliorer la croissance et la forme des arbres restants.
Opération pratiquée après abattage qui consiste à enlever l’écorce.Désigne également certains dégâts de gibiers qui conduisent à la destruction partielle de l’écorce.
Ensemble des tissus extérieurs de l’arbre. Certains sont morts et se détachent par plaques, d’autres sont vivants et leur élimination peut être préjudiciable à l’arbre.
Coupe au ras du tronc des branches basses (vivantes ou mortes) d’un arbre de façon à améliorer la qualité du bois qu’il fournira. Attention à la nécessité de préserver le bourrelet de cicatrisation.
Faire tomber un arbre, sur un ou plusieurs arbres voisins sur pied, les houppiers restant plus ou moins imbriqués les uns dans les autres.
Plantation de trouées plus ou moins grandes permettant d’augmenter dans un peuplement forestier donné, l’importance des essences les mieux adaptées aux objectifs poursuivis.
S’applique à un peuplement forestier dont les arbres sont sensiblement du même âge.
Classification dans le cadre d’un plan local d’urbanisme conduisant au maintien d’un massif boisé.
Désigne l’ensemble des arbres appartenant à une même espèce botanique.
Essence principale d’un peuplement forestier, bien adaptée aux conditions de sol, de climat et permettant de remplir les objectifs de production fixés. Les interventions sylvicoles seront réalisées en priorité à son profit.
Essence associée à une (ou plusieurs) essence(s) principale(s) dans un but cultural, écologique, économique ou paysager.
Ensemble des cimes des arbres constituant une strate nettement distincte de l’ensemble des houppiers des autres arbres.
Préparation des arbres abattus fournissant des bois prêts à être transformés, incluant l’ébranchage et le tronçonnage.
Elément du sol ou du climat, pouvant limiter ou gêner le développement d’une essence forestière (ex : excès d’eau, gel, …).
Apport d’engrais, donc d’une substance améliorant les propriétés chimiques d’un sol et la croissance des végétaux.
Arbre à feuilles larges et molles et qui n’est pas un conifère.
Ensemble des essences feuillues produisant un bois noble, notamment l'alisier, le chêne rouge, l'érable, le frêne, le merisier, le noyer
Sol de la forêt incluant les souches, les semis et l’humus, à l’exclusion des arbres.
Jeune peuplement forestier composé de brins de taillis de faible hauteur (0,5 à 2,5 m) en général dense et difficilement pénétrable.
Tige issue de semence (non de rejet).
Décollement et effilochage de l’écorce des jeunes tiges par frottement des bois de cervidés.
Partie du tronc dépourvue de branche, située entre la souche et le houppier.
Peuplement forestier composé d’arbres issus de semis ou de plants. On distingue les futaies régulières, juxtaposition de futaies équiennes plus ou moins denses, les futaies irrégulières ou jardinées, ainsi que les futaies sur souche : par extension, vieux taillis aux brins éclaircis.
Végétation ligneuse ou herbacée qui accompagne la croissance d’un arbre afin d’en améliorer la forme. Le gainage ne doit jamais être en concurrence avec cet arbre.
Peuplement issu de graines, formé de jeunes tiges encore flexibles de faible hauteur (3 à 8 m) et de faible diamètre (1 à 5 cm) dans lequel l’élagage naturel commence, et dont les cimes sont encore très enchevêtrées. Stade de développement d’une futaie régulière qui succède au fourré et précède le perchis.
Fente longitudinale suivant un plan radial, due au gel, affectant le bois et l’écorce. Se referme et se cicatrise laissant un bourrelet extérieur souvent visible sur l’écorce. Constitue un défaut très fréquent des chênes. L’arbre est alors dit « gélivé ».
Principe de gestion qui permet, dans le cas d’une forêt, de l’exploiter en préservant sa capacité à satisfaire, actuellement et pour le futur, ses fonctions économiques, sociales et environnementales.
Rameau se développant directement sur le fût d’un arbre après une mise en lumière. La présence de gourmands déprécie la qualité du bois.
Arbres dont le diamètre (à 1,30 m) est supérieur à 45 cm.
Tronc ou section de tronc d’un arbre abattu, ébranché et recouvert ou non de son écorce.
Le gyrobroyage est une opération à l’aide d’un gyrobroyeur permettant de débroussailler les terrains destinés à être reboisés ou d’entretenir les plantations et semis en ligne envahis par les broussailles et les hautes herbes.
Terme pédologique qui désigne les différentes couches d’un sol individualisables sur une coupe de sol.
Ensemble des ramifications d’un arbre et de la partie supérieure d’un tronc, non comprise dans le fût.
Ensemble des produits d’altération de la matière organique du sol et constituant la couche superficielle du sol.
Ensemble des caractères présentés par un sol affecté par un excès d’eau temporaire ou permanent.
Insecte ravageur des jeunes résineux (douglas, pins, mélèzes, épicéas,…).
Procédure administrative réalisée par le CRPF conduisant à l’agrément d’un plan simple de gestion.
Dénombrement des arbres existants sur une surface donnée, par essences et par classes de dimension, de qualité, de produits possibles ou par d’autres caractéristiques.
Traitement irrégulier appliqué à un traitement de futaie pour qu’il prenne ou qu’il conserve une structure de futaie jardinée équilibrée, c’est-à-dire, présentant toutes les classes de dimension.
Qui a la nature et/ou la consistance du bois. Les végétaux ligneux sont les arbres, les arbustes, les arbrisseaux ainsi que certaines lianes.
Un des composants du bois, avec la cellulose
Phénomène s’observant sur les arbres en bordure de chemin ou de forêt et résultant de l’asymétrie des conditions d’éclairement et d’alimentation en eau ou nutritifs. Il se traduit souvent par le développement de branches latérales et/ou de gourmands.
Arbre très vigoureux, généralement encombrant ou dominant, de forme médiocre, portant une cime large et encombrante et qui peut porter préjudice à ses voisins de plus grande valeur.
Désignation des arbres :
Surface boisée, généralement d’une certaine étendue correspondant à une certaine unité géographique.
Mélange dans lequel les différentes essences constituant le peuplement forment des groupes homogènes (ou presque) de plus ou moins grande importance (taches, bouquets ou parquets).
Mélange dans lequel les différentes essences constituant le peuplement sont dispersées et ne constituent pas de groupes importants.
Sols gorgés d’eau, tourbières, affleurements rocheux et pentes fortes (supérieures à 40 %).
Ensemble des arbustes et arbrisseaux du sous-étage sans valeur économique (houx, bourdaine, genévrier, aubépine, …)
Association à bénéfice réciproque entre un champignon et les racines d’un arbre.
Réseau de sites comportant des habitats naturels ou d’espèces d’intérêt européen. Ces habitats peuvent faire l’objet de préconisations particulières dans leur gestion.
Anomalie locale de structure du bois due à la trace d’une branche englobée dans le tronc. Facteur de dépréciation importante lors de la commercialisation.
Pour un peuplement forestier, il s’agit de déterminer quelle catégorie de bois on envisage de produire à long terme (bois d’œuvre, bois d’industrie, etc.…).
Ce choix permet ensuite de décider du maintien ou du remplacement d’un peuplement existant et des interventions à réaliser afin d’atteindre les objectifs retenus.
Ensemble des parcelles forestières d’une même série ou d’une même forêt.
Unité territoriale élémentaire du domaine forestier, définie de façon permanente, aussi homogène que possible d’un triple point de vue :
Et constituant l’unité de base pour l’assiette des coupes et des travaux.
Grand bouquet d’une surface supérieure à 10 ares (terme peu utilisé en Limousin).
Etude des sols, de leur formation, de leur évolution et de leurs propriétés (chimiques, physiques, biologiques).
Stade de développement d’une futaie régulière, correspondant à un peuplement dont les tiges (perches) ont un diamètre de 10 à 15 cm et qui est justiciable d’éclaircie. Il précède le stade futaie et succède au gaulis.
Arbres dont le diamètre (à 1,30 m) est compris entre 15 et 30 cm.
Ensemble des arbres, quel que soit leur stade de développement, poussant sur un terrain forestier. Les peuplements peuvent être qualifiés de différentes façons :
Produit chimique employé pour éliminer ou contrôler les végétaux indésirables.
Se dit d’une espèce ou d’une végétation apte à coloniser des terrains nus.
Emplacement, situé au bord d’une route empierrée ou goudronnée, permettant le stockage des bois issus d’une coupe avant leur transport par un grumier.
Document présentant pour une propriété forestière donnée, un descriptif des peuplements et un programme de coupes et de travaux. Il correspond à une exigence réglementaire pour les propriétés de plus de 25 ha d’un seul tenant.
Grume débitée en plateaux dans le sens de la longueur et reconstituée par entassement ; les pièces étant séparées les unes des autres par des lattes de bois afin que la circulation d’air soit assurée. Concerne les bois de bonne qualité.
Petit volume de terre ameubli avant plantation pour permettre une meilleure installation des racines.
Production ramenée à l’unité de temps (en général l’année). Pour une forêt, elle est exprimée en m3/ha par an.
Aspect du sol en section verticale montrant la succession des différents horizons de la surface à la souche-mère.
Lieu où se trouve le peuplement, naturel ou artificiel, où les graines ont été récoltées. Par extension, désigne aussi le lot de graines.
Ensemble d’opérations sylvicoles recréant sur une surface forestière donnée un nouvel état boisé, lequel peut être différent de celui préexistant.
Coupe de plants ou brins de taillis au ras du sol en vue d’obtenir des rejets.
Ensemble des rejets et drageons apparaissant après coupe
Compléments réalisés par plantation dans un projet de boisement, reboisement ou de régénération naturelle.
Remplacement d’une génération d’arbres par une autre, au moyen de plantation ou de semis manuels ou mécaniques.
Pour une essence forestière, le territoire ou ensemble de territoires soumis à des conditions écologiques suffisamment homogènes, où se trouvent des peuplements (ou des sources de graines) présentant des caractères génétiques et de croissance analogues.
Territoire délimité par l’Inventaire Forestier National (IFN) et caractérisé par une certaine homogénéité des sols, du climat et de la flore.
Se dit pour une fleur à symétrie radiale (ex. merisier). Dans le cas d’un peuplement, les arbres ont sensiblement les mêmes dimensions (hauteur, diamètre).
Pousse prenant naissance sur le pourtour de la souche ou de la tige d’un arbre que l’on vient de couper.
Déchets de coupe abandonnés sur le terrain après une exploitation.
Remplacement d’un peuplement, par voie de régénération naturelle ou artificielle.
Arbre désigné pour rester sur pied lors de la coupe du reste du peuplement. Par extension, ensemble des arbres restant après une coupe de taillis sous futaie.
Nom générique désignant les arbres producteurs de résine. Nom donné par extension aux conifères.
Durée nécessaire à la réalisation de l’ensemble des opérations de récolte et de renouvellement d’un peuplement.
Formation boisée située au bord d’un cours d’eau.
Intervalle de temps entre deux passages en coupes de même nature sur une même parcelle.
Défaut affectant le bois et se traduisant par un déroulement entre deux cernes annuels. Elle est fréquente pour le châtaignier en Limousin.
Arbre susceptible de produire des semences et conservé à cette fin lors des coupes de régénération.
Sites d’intérêt scientifique, artistique, historique, légendaire ou pittoresque. Dans ces sites, certaines interventions sont soumises à autorisation ou déclaration.
Ce qui reste en terre de l’arbre après abattage
Végétation arbustive présente sous le couvert des arbres.
Travail profond du sol, à l’aide d’une dent en acier, permettant de décompacter la zone d’enracinement d’un jeune plant.
Etendue de terrain variable, homogène dans ses conditions écologiques : microclimat, relief, géologie, sol et végétation naturelle.
Quantité de bois correspondant à un volume extérieur de un mètre cube.
Portion de tronc située au-dessus de la bille de pied et avant la découpe marchande.
Pour un arbre, surface de la section du tronc mesurée à 1,30 m du sol. Pour un peuplement, total des surfaces terrières des arbres.
Ensemble des soins donnés à la forêt.
Intervention réalisée sur un jeune plant, qui permet de supprimer, grâce à un sécateur par exemple, des branches dont le développement peut entraîner des malformations sur l’axe principal du plant (ex. : fourche…).
Peuplement constitué de tiges provenant toutes du développement de rejets ou de drageons ; Mode de traitement sylvicole (régime du taillis).
Peuplement forestier constitué d’un taillis coupé régulièrement et d’arbres de futaie d’âges variés.
La tarière pédologique est une sonde permettant le prélèvement d’échantillons de terre en profondeur.
Tableau fournissant le volume des bois sur pied ou abattus à partir de leur mensuration.
Caractéristique du bois définie par l’importance du bois d’été dans les cernes. Elle est forte (donnant un bois dur) si la zone du bois final, fibreux est plus importante que celle du bois de printemps ; elle est faible (donnant du bois tendre) dans le cas contraire. La texture est hétérogène si les zones de bois de printemps et de bois d’été ont un aspect très différent ; elle est homogène dans le cas contraire.
Suite des opérations destinées à diriger l’évolution d’un peuplement forestier dans le cadre d’un régime donné.
Obtention de feuilles de placage par passages successifs d’une bille contre un couteau tranchant
Substitution à un taillis, taillis sous futaie ou futaie d’une futaie constituée d’espèces dominantes différentes, obtenues par régénération artificielle. Ne pas confondre avec conversion.
Petite surface dépourvue d’arbres.
Catégorie de peuplement forestier définie en tenant compte au moins de sa composition en essences dominantes et de son traitement.
Mise en évidence, étude et description de types. Il existe des typologies des stations et des typologies de peuplement.
Evacuation des produits de la forêt.
Partie d’un arbre, cassée à une certaine hauteur, tombée sur le sol.
Se dit des animaux invertébrés, insectes, mollusques qui se nourrissent de bois.
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